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La mer
La mer jamais lassée de chanter
Dans la douceur des temps de l'été
Emporte au loin mes pensées
Et mon coeur qui se laisse bercer
Sur la grève endormie, j'écoute le silence
De l'horizon qui fuit à travers les nuages
Moment profond dans sa magnificence
Où l'on oublie la vie, où tout semble mirage
Aussi pur que dans ma paupière,
Le jour pénètre ton flot pur,
Et dans ta brillante carrière
Tu sembles rouler la lumière
Avec tes flots d’or et d’azurLa mer abat ses cartes
Devant les bottes des falaises
Sous la visière de l'azur
L'immensité déploie sa nappe royale
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